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Partie 4
La quatrième partie d'une série de livres intitulée "Issam Fares, l'ancien Vice-Premier Ministre au Liban" a été publiée. Le livre, composé de 578 pages, comprend une série de positions adoptées et d’activités menées par M. Issam Fares en sa qualité de Vice-Premier Ministre du Liban, du 5 octobre 2003 au 12 novembre 2004.

Le livre comprend une introduction et les six chapitres suivants: Les positions; Les commissions ministérielles; Les réunions politiques, sociales et développementales; Les voyages à l'étranger; Les réunions diplomatiques; et les visiteurs officiels au Liban, outre un supplément couvrant, dans les détails, les quatre points-clés suivants d'une importance particulière:
  • Les activités de la Fondation Fares durant 2004
  • Les échantillons des réalisations de la Fondation Fares au Akkar
  • Les élections municipales au Akkar
  • Extraits… pour l'histoire


Extraits… pour l'histoire

Il s'agit de l'idée tirée de la série de positions adoptées par S.E. le Vice-Premier Ministre du Liban M. Issam Fares à travers son rôle particulier dans le Cabinet, sa présidence de commissions ministérielles, des activités politiques, sociales et développementales, ses contacts diplomatiques et ses réunions avec les visiteurs officiels au Liban, ainsi que durant ses voyages à l'étranger et au Akkar.

Il s'agit de l'idée générale qui a prévalu concernant Son Excellence à travers ses activités locales et internationales quotidiennes, particulièrement à travers sa présidence de la délégation du Liban à l'Assemblée Générale des Nations Unies.

Tout au long de cette année, Fares a insisté sur une approche et une performance qui visent à construire un état puissant et productif, consolidant l'unité nationale, développant la démocratie et toutes les éventualités et les chances pour encourager la reprise économique, et finalement promouvoir la position du Liban et ses relations arabes et internationales.

Fares n'a épargné aucun effort pour souligner la nécessité de réformer l'Etat, soulignant la nécessité d'établir un Etat moderne qui va de pair avec le siècle. Il s’est également concentré sur la planification et l'élaboration de programmes, la modernisation pour répondre aux besoins des gens et la décentralisation administrative pour promouvoir la participation des citoyens à un séminaire de développement.

Il a fermement rejeté les tentatives visant à noyer le pays dans des controverses qui ont déçu les gens et pointé du doigt la corruption, le gaspillage des deniers publics, le favoritisme et la détérioration des compétences liées aux attitudes.
Il a admis que la situation socio-économique n'est pas à son plus beau fixe. Toutefois, il affirme qu'un remède est encore possible vu que le Liban mérite cet effort. Insistant sur la distinction entre la résistance et le terrorisme, il a souligné que la résistance à l'occupation était un droit légitime.

En outre, Fares a considéré que les responsables libanais devraient servir comme exemple à leurs citoyens, appelant à l'adoption du principe de responsabilisation.

Tout au long de cette année, le nombre des commissions ministérielles présidées par Fares a atteint 67, dont 51 ont réalisé leur mission. Ces commissions ont joué le rôle de "mini-Cabinets" et assument la responsabilité de débattre de questions délicates et compliquées que le Cabinet lui-même est incapable de régler. Grâce aux efforts de Fares et avec la coopération des Ministres, ces commissions représentent des "usines" de solutions, et non des "cimetières" de dossiers. En présidant ces commissions, Fares a totalement assumé ses responsabilités et s'est assuré que lesdites commissions servaient d'exemples pour étudier les dossiers et illustrer les solutions pratiques.

Outre les commissions ministérielles, Fares a tenu un grand nombre de réunions quotidiennes, n'épargnant aucun effort qui sert les intérêts du Liban. Durant ses réunions, il a fait la lumière sur son intérêt à construire un Etat qui réponde aux aspirations des Libanais et qui joue un rôle fondamental dans la région et au sein de la communauté internationale.

Il n'est pas facile de dissocier les réunions diplomatiques de Fares de ses activités locales ou de ses contacts internationaux visant tous à supporter la reprise et le développement, et à consolider la coopération et les échanges entre le Liban et les nations sœurs. Sur le plan arabe, ses réunions comprennent les ambassadeurs de l'Egypte, de l'Arabie Saoudite, du Royaume Hachémite de Jordanie, de la Tunisie, du Maroc, du Qatar, des EAU et du Yémen.

Sur le plan local également, Fares a accordé une attention particulière au Akkar. Dans les élections municipales, il a voulu, avec détermination, rester à l’abri des conflits et des courses électorales, appelant toutes les parties à parvenir à un consensus et à participer à la construction de ces zones.

Nombreux sont les exemples qui peuvent être cités concernant les bâtiments municipaux que Son Excellence a construits, à son propre compte, qui ont été inaugurés à Tel Abbas Ouest, Rahbe, Talbire, Bayno, Qubayyat … d'autres non inaugurés à Halba, Birkazla & Gebrael.

Les efforts continus de Fares en faveur de la construction du Akkar ne doivent pas être oubliés. Fares tente toujours d'appliquer les décrets pratiques et réglementaires, partant de sa ferme conviction que les compatriotes partagent, avec l'Etat, la responsabilité de contribuer à éradiquer la privation. L'attention que Fares a consacrée au Akkar ne concernait non seulement son attention personnelle, mais également ses services institutionnels fournis à travers la Fondation Fares.
Parmi les principales activités de la Fondation Fares pour cette année, nous citons, principalement:
  • Le programme de santé fourni par le dispensaire Michel Issam Fares à Bayno et le Dispensaire Michel Gerges Fares à Tel Abbas Ouest, outre de nombreuses autres initiatives mobiles visant à fournir des services de santé gratuits à des milliers de personnes en besoin.
  • Le programme éducatif en accordant des bourses à des dizaines de bénéficiaires dans les écoles, les institutions, les universités publiques et privées au Liban et en rendant hommage aux enseignants retraités et aux Directeurs d’écoles supérieures au Akkar. Sur ce plan, il est à noter les dons effectués par S. E. M. Fares à l'Ordre des Avocats du Nord en faveur de la création d'un centre informatique de par le monde via l'Internet et le satellite.
  • Le programme de développement illustre les orientations d’Issam Fares, selon lesquelles la portée des politiques consiste en la réalisation du développement de l'homme et de la terre. Les activités-clés du programme consistent à dynamiser le développement au Akkar pour éradiquer la pauvreté et le chômage, rénover le Souk historique de Bazerkan à Tripoli, fonder le Centre Issam Fares pour les Sports et les Activités Sociales et fonder une section spéciale pour les enfants aux besoins spéciaux.
  • Le programme culturel et sportif: Il est à noter, à cet égard, le Festival annuel des sports de Issam Fares au Akkar, qui comprend des dizaines de clubs et d'associations.


Il est à noter que l'attention développementale, culturelle et sociale accordée par Issam Fares au Akkar vise à les mobiliser, à promouvoir leur lien avec leur terre et leur héritage. Cela explique pourquoi Issam Fares n'épargne aucun effort afin de réaliser des exploits et inciter la Fondation Fares à coopérer avec des organisations internationales, à l'instar de l'UNESCO, du PNUD, des institutions locales, à l'instar des municipalités … afin d'aider le Akkar à effectuer une transition de la privation au développement et à la prospérité.

Sur le plan international, il a rencontré les ambassadeurs des EU, de la Grande-Bretagne, de l'Italie, de la France, de l'Allemagne, de la Grèce, de l'Autriche, de la Hongrie, de la Bulgarie, de l'Arménie, de la République tchèque, de la Biélorussie, du Brésil, du Mexique, de la Colombie, de la Chine, du Japon, de la Malaisie, du Pakistan, de la Corée du Sud, de l'Indonésie, des Philippines, du Sri Lanka et du Nigéria.

Dans le cadre de ces voyages à l'étranger, Fares a consacré du temps précieux à ses voyages à l'étranger, dans une tentative de mobiliser le soutien de la communauté internationale pour le Liban et la promotion du processus de développement au Liban. Durant cette année, ses activités à l'étranger ont pris trois directions:
  • Accompagner le président de la République libanaise M. Emile Lahoud dans le cadre de ses voyages étrangers et dans le Sommet arabe
  • Les initiatives personnelles de Fares
  • le Liban à la 59ème Assemblée Générale des NU.
Dans les détails, Fares a accompagné le Président Lahoud dans son voyage au Brésil (18-23 février 2004) et dans la première visite du Liban en Pologne et en Biélorussie (6&9 juillet 2004). Dans ce cadre, Fares a pris part aux réunions officielles, signé des accords au nom du Liban, rencontré des ambassadeurs accrédités et la communauté libanaise et visité des centres religieux et éducatifs. Au Brésil par exemple, il a conclu deux accords dans le domaine de la coopération et de l'énergie. En Biélorussie par exemple, il a signé trois accords de coopération signés: un accord éducatif et artistique, un accord dans le domaine pédagogique et un accord de coopération technique et scientifique entre le Collège National des Sciences en Biélorussie et le Conseil National pour la Recherche Scientifique au Liban.

Sur un autre plan, Fares a accompagné le Président libanais aux célébrations de canonisation de Hardini au Vatican (14-19 mai 2004) avant de partir en Tunisie pour prendre part au Sommet arabe (22-24 mai).

Dans le cadre de ses initiatives personnelles, Issam Fares est parti à Washington le 31 mai 2004, sur une invitation de la Task Force américaine pour le Liban. Durant la cérémonie organisée en son honneur, Son Excellence a prononcé un discours dans lequel il a souligné que l'attention internationale accordée aux réformes au Moyen-Orient ne doit pas être aux dépens de l'attention accordée à une paix juste et équitable. A cette occasion, Fares a obtenu "le Life Achievement Award", en guise d'appréciation de ses contributions et de ses réalisations politiques comme un homme d'affaires réussi et dynamique, dont les institutions réalisent un succès remarquable au Liban, au Moyen-Orient, en Amérique et en Europe, et en guise de reconnaissance de ses travaux continus de charité.