Il a clairement dit : « Mon loisir est de servir mon pays et ses citoyens où qu’ils soient, au Liban ou à l’étranger, et où que je sois. » C’est ainsi que Issam Fares a décrit ce loisir alors que les loisirs des autres seraient la politique, le commerce, les jeux du hasard ou l’aventure.

Il est l’un des rares politiciens au Liban qui aime offrir des services publics sans rien obtenir en contrepartie et non à des fins personnelles. Il a toujours donné sans en demander en contrepartie. Certains croyaient que Son Excellence M. Issam Fares allait suspendre ses relations avec le Liban et le peuple libanais, fermer ses bureaux et arrêter les services de sa Fondation quand il a décidé de s’éloigner de la politique locale pour des raisons personnelles. Toutefois, à leur grande surprise, sa Fondation, ainsi que ses bureaux affiliés ont multiplié leurs activités, intensifié les services sociaux et humanitaires assurés aux villages, aux étudiants, aux malades et aux nécessiteux.

Sur le plan international, Son Excellence M. Fares a multiplié son activité diplomatique afin de contribuer à la réalisation de la paix, de la démocratie et de la transparence dans sa nation, le Liban. Après Moscou en Russie, où il a été honoré, il a été également honoré aujourd’hui aux Etats-Unis par le forum international le plus élevé de New York, ainsi que deux ex-présidents américains Georges Bush (père) et Bill Clinton.

La cérémonie d’hommage vient en guise d’appréciation des services et des donations de Fares, particulièrement le Centre Issam Fares pour les Etudes Méditerranéennes à Tufts, à Boston qui a accueilli des orateurs de grande envergure en droit international qui sont venus prononcer une allocution sur les questions internationales, dont des personnalités libanaises. Parmi ces orateurs, le Président Georges Bush (père), le Président Clinton et son épouse Hillary, le Secrétaire d’Etat américain actuel, l’ancien Président français Valérie Giscard d’Estaing, l’ancien Premier Ministre britannique Margaret Thatcher, l’ancien Secrétaire d’Etat américain James Baker, le Sénateur Georges Mitchell, l’envoyé spécial du Président américain Barack Obama au Moyen-Orient.

Sans mentionner les visites officielles effectuées par Fares aux grandes puissances, telles la Russie, l’Angleterre, la France, le Mexique et le Brésil, durant la période où il a servi comme ambassadeur du Liban.

Félicitations aux Libanais pour cette cérémonie d’hommage à Issam Fares aux Etats-Unis, dans l’attente d’une pareille cérémonie en son honneur au Liban, dans un avenir proche.